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Accord Gouvernement - M23: lorsque la communauté internationale impose le suicide à la nation congolaise

Written By FODABI on lundi 2 décembre 2013 | 06:53

Sur fond d’une manipulation grandeur nature, une tragicomédie se joue actuellement en RDC avec comme acteurs les Présidents Kagame du Rwanda, Museveni de l’Ouganda et Kabila de la RDC et la communauté internationale. En effet, les trois Présidents et ceux qui les accompagnent sur le plan international s’évertuent à flouer les Congolais avec des négociations assassines faites de rencontres à Kampala, de concertations à Kinshasa et autres marches de soutien organisées en toute hâte à Kinshasa et dans certaines régions du pays.

Toutes ces mascarades, toute cette théâtralisation, ne visent qu’à créer l’illusion du vrai, du légitime et du salut auprès d’une population congolaise qui, heureusement, semble, chaque jour, plus mature que bon nombre de ses leaders politiques de façade façonnés par des élections truquées. Pour arriver à leur fin, les acteurs de cette tragicomédie ont mis en place plusieurs stratégies qui rivalisent de créativités.
En effet, l’ironie des concertations de Kinshasa et des négociations de Kampala réside dans le fait qu’elles sont de parfaits exemples de la thérapie du choc et du chaos, administrée sur un pays qui a tendance à ne pas obéir afin de le réduire en victime et de lui recommander comme médecin son propre bourreau. N’est-ce pas le message que véhicule tous ces voyages précipités et souvent inattendus à Kampala ou ailleurs ?

Les nombreuses négociations ne sont rien d’autre que des actes de rappel aux dirigeants congolais qui ne doivent pas croire qu’ils peuvent devenir acteurs sur le damier congolais. Kagame, Museveni, les lobbies internationaux et nationaux leur tapent tout simplement sur les doigts pour leur faire comprendre qu’on peut à tout moment les retirer de l’échiquier congolais comme hier avec Kabila-Père ou encore NKunda Batware et autre Ntaganda ou Makenga.

C’est, sans doute, ce qui explique les nombreux contacts avec les milieux de Kampala, de Kigali, de Kinshasa et d’ailleurs. C’est probablement aussi ce qui justifie l’attitude de la communauté internationale qui ne cesse d’ordonner au gouvernement congolais de signer un accord avec le M23 malgré la « victoire » des forces armées Congolaises.

Ce qui choque, c’est le fait que la signature de cet accord se fasse sans consultation du peuple congolais à travers son Parlement, un Parlement à qui on continue visiblement de refuser de livrer les tenants et les aboutissants de cet accord de paix de façade sur ordre sans doute des commanditaires régionaux et internationaux et de peur de mettre à nu l’accord conclu le 23 mars 2009. On préfère les huis-clos en lieu et place du parlement congolais et des forces vives de la R.D. Congo.
3. Quel accord doit-on signer avec le M23 ?
Faute d’informations officielles de la part du gouvernement congolais et de ceux qui négocient pour le Congo à Kampala ou ailleurs, je ne peux me livrer qu’à une analyse des données de l’accord du 23 mars 2009 qui, semble-t-il est la base des négociations du futur accord de l’après « victoire » ! Il est donc fort probable que l’accord de Kampala que le gouvernement doit signer a pour mission de mettre en pratique l’accord du 23 mars 2009 et particulièrement :

* D’octroyer un statut spécial aux provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, qualifiées dans l’accord comme ‘’Zones Sinistrées ».

* De transformer le M23 en parti politique comme ce fut le cas avec le CNDP

* D’intégrer sa milice au sein de l’armée congolaise avec comme non-dit la volonté manifeste de torpiller l’unité de commandement en portant, après chaque rébellion, une seule ethnie à la tête de ses structures de commandement.

* De résoudre les conflits locaux entre Congolais rwandophones et les autres Congolais étrangement regroupés au sein d’une ethnie sans nom pour faire deux ethnies en conflits comme au Rwanda.

* D’organiser le retour des réfugiés présents dans les pays voisins sans citer lesquels ni définir comment, en leur octroyant en prime la nationalité congolaise.

* De créer une police de proximité qui n’est autre qu’une police tribale et mono ethnique sur base des réalités sociologiques douteuses afin d’assurer, semble-t-il, la sécurité des réfugiés et des personnes déplacées.

* De créer une unité de police spéciale mono-ethnique, Force spéciale d’intervention pour épauler la police de proximité en cas de besoin.
4. Les acteurs en action dans la finalisation du projet de balkanisation des Kivu
Pour finaliser cette nouvelle étape de la mission de balkanisation du Congo, la technique reste la même, celle du verre plein à vider : « Il ne faut pas casser le verre qui est plein pour le vider. Tu risques d’attirer l’attention du monde entier. Il faut vider le verre à la petite cuillère ». La balkanisation des Kivu se fait à petits coups depuis l’AFDL, le CNDP et tout récemment le M23, en veillant à ce qu’à chaque étape on ne renonce pas aux acquis d’hier! Il suffit de relire les revendications de ce mouvement unique à têtes multiples pour se rendre compte des acquis arrachés progressivement par le mécanisme violent des rébellions à répétition.

Dans cette démarche de balkanisation, plusieurs forces tant internes qu’externes entrent déjà en jeu trouvant chacun son compte :

* La communauté internationale qui s’est déjà offerte un marché dans le cadre de la viabilisation des zones de retour poursuivra ses investissements dans les projets d’adduction d’eau, construction des prisons, hôpitaux, écoles, routes dans les zones sinistrées par les milices et abandonnées par les Congolais, tous des projets au bénéfice des retournés Tutsi qui viendraient du Rwanda et de par le monde, avec la nationalité congolaise en prime. La Banque mondiale n’est-elle pas déjà en action dans cette perspective? Que dire des nombreux lobbies miniers en quête de carrés miniers et pétroliers ?

* La MONUSCO, quant à elle, trouvera aussi son compte dans le nouveau mandat qui lui permettra de se la couler douce pour de longues années dans cette partie de l’Afrique. Dans les jours prochains, et fidèle à son nouveau mandat « de stabilisation et de consolidation et de protection des populations congolaises » ou mieux des intérêts économiques des lobby nationaux, régionaux et internationaux en activité dans la « zone sinistrée », la MONUSCO organisera, formera et équipera la nouvelle police de proximité et les forces de sécurité en activité dans les zones sinistrées.

* Le Rwanda et l’Ouganda pourront créer une colonie de peuplement dans les Kivu et exploiter les richesses du sol et sous sol de cette contrée. C’est une question de vie ou de mort pour les régimes dictatoriaux de ces deux pays dont la survie dépend de la satisfaction des besoins des différents lobbies militaro-politico-économiques, nationaux et internationaux, en action dans la région.

* Le Rwanda et l’Ouganda pourront fournir le gros des effectifs et l’équipement des membres de la nouvelle police spéciale et ceux de la police de proximité afin de protéger les nouveaux occupants.

* Les commerçants et autres acteurs politiques congolais des Kivu, avides de l’argent facile se contenteront des miettes que des réseaux commerciaux déjà en activité leur offrent et continueront à assurer.

* Sur le plan national, les quelques parlementaires et autres politiciens thuriféraires passeront leur temps à accuser les opposants de traîtrise et chanteront la victoire de la diplomatie directe qui aura réussi à sauver la paix si pas le régime en cédant carrément les deux Kivu en lieu et place des 300 km jadis conclus avec l’AFDL dans l’accord de LEMERA.
5. Quel avenir pour les Kivu et les autres populations vivant dans les « zones sinistrées »
Si l’accord final signé à Kampala comprend les aspects mentionnés ci-dessus, pareil accord n’amènera pas la paix dans les Kivu et encore moins en RDC parce qu’elle ne prend tout simplement compte que des revendications d’une seule ethnie considérée comme seule minorité dans ces contrées et dans tout le pays. Les autres autochtones, de partout en RDC, se battront bec et ongle pour éviter que les Kivu ne deviennent des terres de peuplement d’un seul peuple dont il faudra assurer la sécurité par une présence militaire rwandaise acceptée par la communauté internationale attirée par les juteux revenus des exploitations minières et autres.

Pour les Congolais, ce scénario est inacceptable parce qu’il marque le début de la Balkanisation de la RDC, une balkanisation qui s’inscrit dans un long processus rythmé par les coups d’acteurs nationaux, régionaux et internationaux et surtout par le silence et la peur de certains parlementaires et certaines forces vives congolaises toutes tendances et ethnies confondues.
Pour les Congolais, la crainte est celle de voir demain, la RDC rayée de la carte de l’Afrique parce que c’est la seule contrée que les puissants du monde ont oublié de se partager ! Qu’on se le dise, sans Berlin II, le Congo sera dépecé et ses populations vivront en errance sur des terres qui, jadis, leur appartenaient.

N’est-ce pas ce qui fait hésiter les négociateurs Congolais pris entre le marteau et l’enclume à Kampala. N’est-ce pas ce qui explique leurs nombreux atermoiements tiraillés entre l’opinion publique nationale et les nombreuses pressions de partenaires étrangers aux intérêts multiples dans la région ?
 
(PAR THIERRY NLANDU MAYAMBA, PROFESSEUR À LA FACULTÉ DES LETTRES/UNIVERSITÉ DE KINSHASA)

Le marché central de Kinshasa : Ata vous-mêmes !!!!





Kinshasa: échauffourées au siège national du Palu

La cérémonie de remise et reprise à la tête du Parti lumumbiste unifié (Palu) a été précédée d’échauffourées samedi 30 novembre au siège national du parti dans la commune de Matete. Selon le nouveau secrétaire permanent et porte-parole du parti, Willy Makiashi, cette cérémonie entre Laure Marie Kawanda et lui a eu lieu après que la police a rétabli le calme. Ce cadre du parti cher à Antoine Gizenga n’a pas révélé les causes de ces échauffourées entre les militants du Palu.

Willy Makiashi a expliqué que lorsque les militants du Palu se sont rendus au siège du parti pour attendre la remise et reprise, ils y ont trouvé des personnes qui les ont attaqués :
« La police nationale qui est intervenue pour rétablir l’ordre publique s’est rendue compte que ceux qui étaient à l’intérieur avait des armes de guerres. Les armes ont été découvertes avec des sacs de chanvre et d autres drogues », a révélé l’actuel secrétaire permanant du Palu.
Il a déclaré que la police comptait faire son rapport sur cet incident  et que des enquêtes seraient menées pour «savoir d’où viennent ces armes et de qui».
L’ordre ayant été rétabli, la remise et reprise a eu lieu depuis 14 heures, a indiqué Willy Makiashi.
Laure Marie Kawanda quitte le Palu
Dans un communiqué signé le même samedi 30 novembre, l’ancienne secrétaire permanente du Parti lumumbiste unifié, Laure Marie Kawanda Kayena, annonce qu’elle «prend congé du parti».
Elle condamne «avec la dernière énergie ces incidents ayant entraîné mort d’hommes et des blessés graves», sans avancer des chiffres.
Pour elle, ces « actes de barbarie ont été perpétrés contre les paisibles militants qui exprimaient leurs légitimes revendications». Par la même occasion, elle dément les allégations selon lesquelles «le siège du Palu était occupé par des [gangsters] Kuluna et autres milices armées».

Accord ou déclaration : UPN, les étudiants parlent des pourparlers de Kampala !

Written By FODABI on jeudi 21 novembre 2013 | 10:18


Le problème de Kampala intéresse au plus haut au point l’ensemble des populations congolaises, et les étudiants en particulier. Pour en savoir un peu plus, votre journal a échangé avec les étudiants de l’Université Pédagogique Nationale. C’était hier au sein même de cette alma mater. Les uns encouragent l’idée du Gouvernement, celle de ne pas signer un accord mais plutôt une déclaration. Tandis que les autres pensent que l’option politique est un aspect important que l’on ne peut pas négliger peu importe les circonstances.
Ci-dessous l’intégralité du résumé de ce micro baladeur
Jules -César Nyangu Badika : ‘’Signer un accord serait la plus grande erreur’’
Le problème de Kampala mérite beaucoup d’attentions parce que c’est l’avenir de la République qui se décide. En ce qui me concerne, le gouvernement ne doit pas céder aux exigences des rebelles parce que nos forces armées ont déjà prouvé de quoi ils étaient capables. Ce qu’il faut, c’est faire en sorte que ces vaillants héros soient non seulement encourager, mais aussi totalement pris en charge par l’Etat congolais. Je pense aussi que la position de l’Ouganda doit interpeller les autorités congolaises. Tout simplement parce que, ce n’est pas normal qu’un pays nous oblige à signer un document dont nous n’avons pris connaissance que le même jour. Signer un accord serait la plus grande erreur pour ne pas dire une bêtise. Sinon, il y aura un autre groupe qui réclamerait son applicabilité dans peut-être une ou deux ans qui sait ? J’approuve totalement l’idée du gouvernement et je l’invite à rester sur sa position. 
Octa Kabanga : ‘’Je n’approuve pas l’idée d’amnistie’’
Ces rebelles ont causé beaucoup de torts aux hommes et femmes de l’Est de la RDC. Ils ont tué, violé, volé, et aujourd’hui ils veulent signer un accord ? Qu’elle sera la place des femmes violées ? Pour moi, ils doivent être punis selon la loi de notre pays. Je n’approuve pas l’idée d’amnistie, parce que ce serait une manière de protéger des criminels. Par rapport à Kampala, moi je ne vois pas la raison pour lequel le gouvernement va encore partir là-bas. La cause était juste et nous avons gagné la guerre face à ces inciviques après plus d’une année de souffrance. Les FARDC montent en puissance et ils peuvent désormais faire face à tous les groupes armés qui oseraient encore causé du tort à la population congolaise. Coup de chapeaux aux FARDC et à son Commandant Suprême, le Président de la République pour cette victoire tant recherchée.
Moïse Nalenge : ‘’Tant que Kagame sera au pouvoir, les populations de l’Est ne seront jamais dans la paix’’
Tant que Kagame sera au pouvoir, les populations de l’Est ne seront jamais dans la paix, parce que c’est lui la cause principale de tous les malheurs qui rongent aujourd’hui. Ne va-t-il pas créer un autre groupe armé ? Dieu seul sait si ça sera M26 ou encore M29. La guerre des mots qui se fait maintenant m’inquiète. Que ce soit accord, déclaration ou document, engagera les deux parties, c'est-à-dire, la RDC et le M23. Moi je suggère que les FARDC prennent leurs responsabilités pour que ces genres de rébellion ne se reproduisent plus en République Démocratique du Congo.
Propos recueillis par Kevin Inana

Insécurité à Kinshasa. Des Kuluna organisés en gangs meurtriers

Written By FODABI on mercredi 20 novembre 2013 | 11:31

Ils sèment la terreur dans les quartiers périphériques de la capitale de jour comme de nuit et se permettent même de narguer les agents de la police nationale au grand dam de la population apeurée et qui ne sait désormais à quel saint se vouer et où trouver refuge.
Dans la commune de Kimbanseke par exemple, les habitants des quartiers avoisinant la paroisse Sainte Croix, ceux de Mfumu Nkento, ainsi que ceux qui étaient de passage vers Kingasani terminus ont vécu la semaine écoulée une des scènes les plus déconcertantes de leur vie de citadins. Deux gangs de voyous se réclamant de l’écurie FBI et Kata Bale armés des machettes, barres de fer, des gourdins et de divers objets tranchants se sont affrontés en plein jour après l’attaque d’un passant qu’ils avaient grièvement blaissé avoir ravi tout ce qu’il avait sur lui.
Pendant que l’infortuné gisait à même le sol dans une marre de sang, les deux groupes se disputaient le butin. Les Kuluna parlaient haut et fort tenant les passants en respect et demandant aux familles de s’enfermer dans les maisons au risque des représailles.
Bien entendu, les gents se sont terrés mais quelques téméraires ont appelé la police au secours. Selon certains témoins oculaires, quelques agents de police commis à la brigade d’intervention de Zamba 9 partis à la rescousse de l’infortuné et de la population apeurée avaient été pris en chasse par les deux gangs et qui se mirent à lapider les policiers.
Ceux-ci ont préféré sauver leurs peaux en prenant la poutre d’escampette. « Puisque la police qui est sensée nous protéger a détalé, comment pouvions-nous réagir », s’est exclamé un témoin. Vous savez papa journaliste, nous sommes abandonnés à notre triste sort. De nuit nous sommes traqués par des petits délinquants qui profitent de l’obscurité pour surprendre les passants.
Ils portent sur eux des machettes et autres armes blanches et n’hésitent pas à en faire usage en cas de résistance de la victime…alors on leur laisse tout ce que l’on a et on a ainsi la vie sauve. Dans tous les cas, la situation est pareille et même plus grave quand on tombe sur une patrouille de la police à ces heures là. Les policiers font exactement la même chose que les délinquants. Ils nous ravissent portables, et argent… »
A Kimbanseke, les gangs sont connus. En plus des FBI et des Kata Bale, il y a le 6è bataillon, le 4è bataillon. Les chefs de file sont connus par la population qui a peur des représailles parce que d’expérience quand elle dénonce ces malfrats et qu’on parvient à mettre la main dessus, et qu’ils sont relâchés ensuite soit- disant faute de preuves ou d’accusé ceux-ci n’hésitent pas à punir ceux qui les auraient trahis. Les loubards reviennent ainsi en force dans le quartier…
Les Kuluna sont donc un épiphénomène qui gangrène la société kinoise. C’est une autre face d’un terrorisme urbain qui ne dit pas encore son nom. Le fait que toute la ville a peur de se balader tranquillement la nuit, le fait aussi que tous les mafiosis opèrent impunément stimule les mauvais citoyens à trouver refuge derrière les Kuluna pour régler des comptes à leurs adversaires.
Le Kuluna a des effets collatéraux. La peur d’être attaqué de nuit par des inconnus a poussé beaucoup de familles résidant à Masina, Kimbanseke, Malueka, Ndjili, N’Sele ou Maluku à quitter leurs domiciles pour aller habiter des contrées plus paisibles et éclairées.
Deux cas qui font clicher
Durant la nuit de mercredi 13 au jeudi14novembre en cours, notre confrère Gaby Mass a été victime d’un cambriolage. Des voleurs se sont introduits chez lui et ont réussi à emporter quelques biens de valeur. La même nuit Gaby Mass a reçu un coup de téléphone. Une voix de femme le menaçait de mort sans plus.
Il ya quelques mois Ikendeke Akwelanza Cynthia et ses deux enfants a du fuir la résidence de son oncle où elle habitait après que des hommes en armes eussent investi la maison en son absence, violenté son oncle et promis de revenir régler leur compte à la dame Cynthia pour qui ils étaient venus. Prise de peur, la pauvre fille a simplement disparu sans laisser d’adresse. Voila autant d’effets collatéraux qui surviennent par le fait des Kuluna…
D.L

Evaluation de l’application des mesures importantes des concertations nationales annoncées par Joseph Kabila,

Written By FODABI on jeudi 14 novembre 2013 | 02:08

Le chef de l’Etat congolais Joseph Kabila lors de son discours du mercredi 23 octobre dernier devant le congrès, avait annoncé des mesures importantes en réponse aux recommandations des concertations nationales. Il s’agit entre autres de la formation imminente d’un gouvernement de cohésion nationale qui comprendrait des acteurs de la majorité, de l’opposition et de la société civile et de la mesure portant grâce présidentielle et de la fin de la guerre.
Trois semaines après le discours du chef de l’Etat, ou en est-on à ce jour avec la mise ne application de ces mesures ?
Invités:
Didier Molisho, Député national et secrétaire général adjoint de la majorité présidentielle.
Me Zacharie Nkenda, Cadre du parti politique Union pour la démocratie et le progrès social (Udps). Il est aussi avocat au barreau de Kinshasa Gombe.
 
 Ecoutez l’intervention de Me Zacharie Nkenda de L’UDPS et Didier Molisho du PPRD
 Joseph Kongolo, Analyste politique.

L’opposant Jean Claude Vuemba plaide pour l’érection d’un mur entre la RDC et le Rwanda

(KINSHASA)- L’opposant Jean Claude Vuemba est revenu sur son idée de la construction d’un mur entre la Rd-Congo et le Rwanda, la Rd-Congo et  l’Ouganda pour stopper, dit-il, les appétits gloutons des régimes expansionnistes de Kigali et Kampala. Six mois avant, le président du Mouvement du peuple congolais pour la république avait déjà annoncé cette proposition devant ses militants dans le Bas-Congo. L’élu de Kasangulu a défendu cette idée devant ses collègues députés avant la plénière mercredi au palais du peuple. ‘‘Nous devons ériger ce mur pour nous permettre de nous sécuriser. Les Etats unis pour lutter contre le trafic de drogue ont érigé un mur à la frontière avec le Mexique. Que dire alors de l’Israël qui a construit un long mur à la frontière avec la Palestine. Avec ce mur, on aura moins des problèmes et cela nous permettra d’organiser notre armée’’, a-t-il déclaré.
 
Le leader du Mpcr croit avec 132 millions de dollars ce projet peut être réalisé facilement. Des experts consultés par ses services en Europe ont avancé ce chiffre. L’opposant compte sur l’esprit patriotique des congolais pour matérialiser ce projet qui sera bénéfique à l’ensemble de la population. ‘‘Si chaque congolais donne même un dollar et comme nous sommes plus de 60 millions d’habitants, on atteindra facilement ce montant’’, a assuré Vuemba.
 
Il a lancé un appel à la mobilisation pour que tous les congolais spécialistes du domaine se mettent à la disposition de la république pour commencer la construction de cet ouvrage, véritable gage de la paix et de la sécurité de notre pays.
Source : 7sur7 (807)

Un étudiant de G3 viole une étudiante de G1 au Home dix de l’Université de Kinshasa.

La victime, nouvellement inscrite en première année en faculté d’économie, sortait de son auditoire vers midi lorsqu’elle a été attaquée sur son chemin par un étudiant. Ce dernier lui a ravi son sac avant de l’entrainer jusqu’à la résidence universitaire où il l’a violé.
Trois étudiants ont été exclus de l’Université de Kinshasa après le viol d’une de leurs condisciples nouvellement inscrites samedi 2 novembre dernier. Le Secrétaire général académique de cette université, le Professeur Prospère Kanyankogote a annoncé mercredi 13 novembre à Radio Okapi que l’un de ces étudiants est exclu pour viol, et les deux autres qui l’ont aidé à s’échapper pour association de malfaiteurs. L’ONG Ligue de la zone Afrique pour la défense des droits des enfants et élèves (Lizadeel) a affirmé qu’elle a déjà porté l’affaire au parquet de Matete.
Les deux complices sont déjà aux arrêts. La Police a lancé des recherches pour retrouver l’auteur du viol, en fuite.
Selon la Lizadeel, le viol a été commis samedi 2 novembre dernier dans l’une des chambres du Home dix de l’Université de Kinshasa.
La victime, nouvellement inscrite en première année en faculté d’économie, sortait de son auditoire vers midi lorsqu’elle a été attaquée sur son chemin par un étudiant. Ce dernier lui a ravi son sac avant de l’entrainer jusqu’à la résidence universitaire où il l’a violé.
Un acte qui lui a valu l’exclusion de l’université, a indiqué le Secrétaire général académique de l’Unikin :
« Cet étudiant de troisième graduat de la faculté d’économie a obligé la fille à lui céder son corps. La garde universitaire est descendue pour l’arrêter, mais ses deux amis l’ont fait fuir. Pour l’auteur principal, nous avons pris la décision de l’exclure définitivement de l’université de Kinshasa. Pour les deux autres, eux ils sont pratiquement co-auteurs, c’est une association des malfaiteurs. Nous allons aussi prendre la même décision » explique-t-il.
Le président de la Lizadeel, Godé Kayembe a dénoncé ce scandale :
« Une jeune fille d’une bonne famille, d’une bonne éducation entre à l’université vierge. Elle croise un étudiant qui récupère son sac et l’entraîne jusque devant la chambre et commence a la violé. Ça, c’est un scandale. Cette situation qui se passe à l’université nous étonne et nous nous demandons où le Congo est en train d’aller ?» s’est-il indigné.
 

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